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BURKINA FASO

Reinassance 2

Cofinancé par

Promu par

Renaissance 2 – La société civile et les institutions publiques travaillent ensemble pour la promotion des droits, les soins et l’inclusion sociale des personnes en détresse mentale au Burkina Faso- AID 012590/06/2. 

Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un programme d’intervention sur la promotion de la santé mentale et des droits des personnes en souffrance mentale que CVCS avec ses partenaires a démarré en 2018 au Burkina Faso.  

Le projet vise à renforcer la prise en charge sanitaire des personnes en souffrance mentale et leurs possibilités de réinsertion sociale par la consolidation du modèle d’intervention de l’Association Saint Camille de Lellis de Bobo-Dioulasso (ASCL), qui a ouvert depuis 2014 un centre de réhabilitation, d’accueil, de traitement et de réinsertion sociale des personnes en errance en souffrance mentale.

Au Burkina Faso, les personnes souffrant de maladie mentale font l’objet d’une forte stigmatisation sociale et leur état est interprété comme le résultat de malédictions ou de sortilèges. Elles sont par conséquent exclues au niveau familial et social et se retrouvent souvent livrées à elles-mêmes et dans des situations de vagabondage et d’extrême vulnérabilité. 

Même au niveau de la santé, le phénomène est négligé, en raison du manque de personnel et d’installations spécialisés.

Le projet prévoit donc 3 niveaux d’intervention:

1. Renforcement des centres thérapeutiques de l’ASCL et des compétences du personnel des services de santé publique. 

Des activités d’appui seront menées pour renforcer les centres thérapeutiques de l’ASCL (2 dans la région des Hauts Bassins et un plus récent à Ouagadougou (région Centre) par des interventions structurelles telles que la construction d’un centre d’accueils et de prise en charge pour Ouagadougou et d’une résidence autonomisation pour les patients stabilisés du centre de Bobo-Dioulasso, et des activités de formation de 50 agents de santé dans les centres pour augmenter la capacité de traitement et de réinsertion sociale des patients. Grâce à ces interventions, les centres thérapeutiques de l’ASCL pourront accueillir, traiter et initier environ 500 personnes à la réinsertion sociale d’ici trois ans. 

En outre, un programme de formation de base sera mis en œuvre sur le diagnostic et la prise en charge des personnes atteintes de troubles mentaux pour améliorer les compétences de 326 agents de santé (infirmières et médecins) de plus de 100 établissements de santé dans 9 districts des régions Hauts Bassins et Centre et pour 20 élèves infirmiers de l’Ecole Nationale de Santé Publique. 

2. Réinsertion sociale et professionnelle des personnes atteintes de troubles mentaux.

Un travail sera effectué sur la réinsertion des patients en détresse psychique en contactant leurs familles et en les faisant participer à des activités de formation en vue de faciliter la réintégrer des patients stabilisés en famille. 

Les activités d’ergothérapie et de formation professionnelle des centres thérapeutiques de l’ASCL seront également développées. 

Par le développement de l’activité agricole du CLER de Doufiguisso les patients pourront y séjourner pour l’apprentissage du travail dans le secteur de l’agro-pastoral. En outre, des parcours d’insertion professionnelle en entreprise et des projets d’auto-emploi et de micro-entreprise seront mis en œuvre en faveur des patients stabilisés. 

3. Promotion des droits des personnes atteintes de troubles mentaux et renforcement de la coordination et du dialogue entre OSC travaillant dans le secteur de la santé mentale et institutions. 

Le projet renforcera la coopération et la coordination des acteurs de la société civile qui s’occupent des droits et des soins des personnes souffrant de maladie mentale et favorisera le dialogue entre eux et les institutions afin d’analyser les questions sanitaires et sociales de manière participative et de mettre en œuvre des interventions en faveur des soins et de l’inclusion sociale.

Des réunions d’information et de sensibilisation seront organisées avec la population sur le terrain, dans les villages et les quartiers, dans les écoles et surtout avec les jeunes. 

Partenaires

Association Saint Camille de Lellis – ASCL Burkina Faso

Secrétariat Exécutif diocésain de Bobo-Dioulasso de l’OCADES - Caritas Burkina Faso

AES-CCC ong - organisation de coopération internationale - Italie

ASUGI – Azienda Sanitaria Universitaria Giuliano Isontina - Département Santé Mentale - Italie

Università degli Studi di Torino - Centre de recherche en ethnopsychiatrie et anthropologie des migrations (CREtAM) du département Culture, politique et société (DCPS) - Italie


BURKINA FASO

Renaissance

Cofinancé par

Promu par

Renaissance – Parcours de réinsertion sociale des personnes en détresse psychologique au Burkina Faso – AID 011875

Le projet Renaissance concernait le centre urbain et les banlieues de Bobo-Dioulasso, la deuxième ville du Burkina Faso en termes de population, et était axé sur la promotion des droits des personnes souffrant de troubles mentaux.

La santé mentale est un domaine très négligé : les personnes souffrant de troubles mentaux sont souvent stigmatisées, marginalisées, abandonnées et emprisonnées.

Il progetto ha voluto quindi raggiungere i seguenti obiettivi:

  • Renforcer le modèle de soins promu par le partenaire Centre Espérance pour l’accueil, le traitement et la réintégration socio-familiale des malades mentaux abandonnés ;
  • Améliorer les connaissances de la population locale en matière de santé mentale grâce à des recherches sur le terrain, à la formation des familles et des jeunes pour qu’ils participent à la gestion du problème et à la sensibilisation de la communauté.

Le projet est terminé en 2022.

 

Partenaires

Association Saint Camille de Lellis – ASCL Burkina Faso

Centre Jigi Seme - Bobo Dioulasso - Burkina Faso

Centre Hospitalier Universitaire Sourô Sanou - Bobo Dioulasso - Burkina Faso

OCADES - Caritas Burkina Faso

ASUGI – Azienda Sanitaria Universitaria Giuliano Isontina - Département de santé mentale - Italie

Université de Trieste - Italie


CÔTE D'IVOIRE

Sentiers

Cofinancé par

Promu par

Sentiers : Chemins d’inclusion sociale pour les mineurs et les jeunes en Côte d’Ivoire

 Le projet s’adresse aux mineurs et aux jeunes en situation de fragilité familiale, sociale et économique et en conflit avec la loi dans les contextes de Bouaké et Daloa, dans le but de faciliter leur accès à l’éducation de base, à la formation professionnelle et aux parcours éducatifs de réinsertion sociale.

Les principales activités menées sont les suivantes:

le soutien aux activités d’éducation préscolaire et primaire pour les mineurs issus de familles en situation de grande pauvreté;

  • programmes éducatifs pour la réinsertion sociale réussie des mineurs et des jeunes en conflit avec la loi ou en risque de marginalité et de déviance;
  • la formation professionnelle et l’accompagnement dans le placement des jeunes en conflit avec la loi, des jeunes filles et des jeunes femmes en grande difficulté économique.

Partenaires

Association Notre Dame des Source - Bouaké - Côte d'Ivoire

ONG Progres Universel - Djébonoua - Côte d'Ivoire

Association des Soeurs de la Providence de Saint Gaetan - Abidjan - Côte d'Ivoire

Centro di Volontariato Internazionale - CeVI - Italie

Solidarmondo per la cooperazione internazionale - Italie


CÔTE D'IVOIRE

Bien Vivre Chez Soi

Cofinancé par

Promu par

Bien vivre chez soi

Le projet « Bien vivre chez soi – Un avenir pour les jeunes et les familles ivoiriennes » intervient dans le département de Bouakè, avec des activités dans la sous-préfecture de Djébounua et dans le département de Daloa, en milieu urbain, pour la prévention des migrations à risque, notamment des jeunes, en activant les processus de développement local.

Les zones d’intervention sont situées dans les régions qui contribuent le plus à la pauvreté du pays, où les jeunes constituent le groupe dominant mais aussi le plus fragile, car ils sont issus de familles pauvres, souvent monoparentales, manquent d’éducation de base ou sont exclus de la formation professionnelle.

Certains de ces jeunes, inexistants pour les institutions, sont attirés par la criminalité, qui est souvent un moyen de collecter de l’argent pour migrer.

Au cours de trois annualité du projet, des activités sont donc menées pour: 

  • promouvoir l’éducation de base et la formation professionnelle
  • lancer des activités génératrices de revenus impliquant les jeunes et les femmes marginalisés ;
  • prévenir la déviance juvénile, notamment par des interventions dans les centres de détention pour mineurs de Daloa et de Bouaké.

 

Partenaires

ONG Progres Universel - Djébonoua - Côte d'Ivoire

Association Notre Dame des Source - Bouaké - Côte d'Ivoire

Commune de Mairie De Djebonoua - Côte d'Ivoire

Centro di Volontariato Internazionale - CeVI - Italie

Association de solidarité internationale Jobel Onlus - Italie


BOLIVIE

Cambiando de Lente

Cofinancé par

Promu par

Cambiando de Lente: Modèles participatifs locaux de justice et de prévention de la délinquance/violence juvénile avec une approche réparatrice en Bolivie.

Le projet « Cambiando de Lente » vise à garantir la continuité des activités promues par la coopération italienne en Bolivie dans le cadre d’un accord signé entre le ministère de la santé, le gouvernement municipal autonome de Cochabamba et l’AICS, visant à construire un modèle de prise en charge, de traitement et de réhabilitation des personnes ayant des problèmes d’alcool et de drogue dans la ville de Cochabamba.

Dans le cadre de cet effort conjoint, un Centre d’attention intégrale à la famille (CAIF) a été construit, inauguré et mis en service, un espace qui offre des services de prévention, de diagnostic psychologique et social, ainsi qu’un traitement ambulatoire pour les personnes, en particulier les mineurs, qui ont des problèmes de consommation de substances licites et illicites.

Le genre et la violence intrafamiliale, qui sont étroitement liés à ces phénomènes, représentent une véritable urgence nationale à laquelle ce projet entend répondre en promouvant un programme intégré de prévention primaire, secondaire et tertiaire, avec une référence particulière à l’usage et à l’abus d’alcool et d’autres substances psychoactives (drogues, tranquillisants, stimulants, inhalants) et aux manifestations violentes qui y sont liées.

La prévention sur ces questions est d’une importance capitale étant donné que les délits sexuels représentent le deuxième niveau d’incidence, après le vol, dans le groupe des mineurs et le troisième dans le groupe des adultes dans le pays.

Le projet vise notamment à soutenir et à renforcer les services territoriaux et les politiques de prévention intégrale (primaire, secondaire, tertiaire), en promouvant la coordination interinstitutionnelle, le renforcement des capacités et la dynamique de gouvernance, à partir d’expériences locales pilotes de collaboration entre les autorités territoriales et la société civil

Sans se substituer aux services d’assistance territoriale, cette initiative construit autour d’eux et de la société civile organisée présente dans la zone, un programme de capacity building axé sur le renforcement des compétences techniques des opérateurs et des gestionnaires de ces institutions, ainsi que sur leur mise en réseau et leur coordination, dans le but d’améliorer la qualité des services et d’augmenter le type d’offre.

 Les groupes cibles directs sont donc les opérateurs techniques des services sociaux départementaux et municipaux, les opérateurs de sécurité des institutions pénitentiaires pour mineurs, les policiers opérant sur le territoire du District 16 Sud de Cochabamba, les opérateurs des centres d’attention juridique (SLIM), les bureaux territoriaux de la Defensoría de la Niñez y Adolescencia et la société civile organisée qui intervient dans le domaine de la protection des mineurs au niveau du territoire.

L’expérience de collaboration territoriale en réseau dont peut se prévaloir la municipalité de Cuneo constitue une valeur ajoutée importante qui sera valorisée par des dynamiques de conseil technique, d’accompagnement et d’échange.

Partenaires

Office local d'exécution pénale externe (UEPE) de Cuneo - Italie

ProgettoMondo Bolivie

CVCS Bolivie


BOLIVIE

Emprendiendo para ser libres

Cofinancé par

Promu par

Emprendiendo para ser libres: Formación técnico laboral de personas privadas de libertad para la reintegración social y familiar. 

Le projet “Emprendiendo para ser libres” vise à soutenir la réintégration familiale, sociale et professionnelle des femmes privées de liberté (en particulier des jeunes femmes) du Centro de Orientación Femenino à Obrajes et des jeunes (18 à 28 ans) détenus au Centro de Reinserción Social para jóvenes à Qalauma.

Les personnes privées de liberté ont besoin d’un type d’attention qui soutienne leur parcours de réinsertion sociale, pendant la période de détention et après la libération. À cette fin, en Bolivie, la résolution administrative n° 095/2018 a approuvé le Protocole d’attention post-pénitentiaire, élaboré avec le soutien de la CVCS, qui établit une série de responsabilités pour les autorités du système pénal, dont le devoir d’impliquer les PPL, à partir de la période de leur séjour dans les centres pénitentiaires, dans des parcours articulés en 5 volets : 1. Réintégration familiale ; 2. Renforcement sanitaire ; 3. Renforcement psychosocial ; 4. Placement au travail ; 5. Réintégration éducative.

Les personnes privées de liberté dans le centre sont issues des milieux les plus pauvres, notamment de la périphérie des villes d’El Alto et de La Paz. Beaucoup d’entre elles ont cessé d’étudier ou de travailler. Dans le processus de réinsertion d’une personne précédemment privée de liberté, la société est l’un des acteurs clés ; il est donc important de travailler sur les idées préconçues et les jugements négatifs de la société. La justice réparatrice, qui anime ce projet, démontre que les personnes sont récupérables et peuvent devenir des acteurs à part entière dans leur contexte familial et social.

Afin de contribuer à la réintégration sociale, familiale et professionnelle, les activités prévues dans le domaine de la privation de liberté sont les suivantes :

  •  Formation à la prévention et à la résolution des conflits, à la responsabilité, à la maternité et à l’orientation parentale : ces thèmes ont été identifiés en tenant compte de l’importance de la famille dans le processus de réintégration.
  • Formation technique auxiliaire en boulangerie, confiserie, cuisine, maroquinerie, métallurgie, menuiserie, artisanat, couture, sérigraphie et sublimation : dans la continuité de la formation entamée lors de la première phase, des formations techniques seront réalisées pour renforcer les compétences professionnelles.
  • Des ateliers sur la production innovante et écologique seront organisés, dans le but d’encourager une plus grande créativité dans la production et une plus grande diversité dans l’offre. Enfin, la formation technique est complétée par une formation à l’esprit d’entreprise.

 Dans la période qui suit la réadmission en liberté :

  • Orientation et accompagnement post-carcéral dans l’environnement familial et professionnel : une fois libérées, les personnes privées de liberté sont accompagnées par des travailleurs sociaux et des éducateurs dans leur parcours de réinsertion. Avec les familles, une approche réparatrice est développée qui favorise l’autonomisation de la famille et la participation de tous ses membres. Dans le domaine de l’emploi, ils bénéficient d’une orientation qui leur permet de chercher un emploi en fonction de leurs capacités. En plus, les entreprises productives, individuelles et collectives, des personnes libérées de prison bénéficient d’un soutien sous forme de capital de démarrage et d’une assistance technique.
  • Maisons de réfugiés : dans les cas où il n’y a pas de maison ou de famille à retrouver, ou lorsque le retour pourrait constituer un facteur de risque de récidive, les anciennes personnes privées de liberté sont hébergées dans les maisons Kantuta et Ternura, deux lieux de transition, où sont fournis un logement, un soutien alimentaire et une orientation professionnelle. Ces deux foyers sont également équipés d’ateliers de production qui permettent d’acquérir une expérience professionnelle et coopérative, y compris un emploi rémunéré, au cours des premiers mois de liberté.

Partenaires

Fundación Munasim Kullakita - Bolivie

CVCS Bolivie

En Italie

ITALIE

ONES 2 - Odiare Non è uno sport 2

Cofinancé par

Promu par

 Le projet Odiare non è uno sport 2 entend s’appuyer sur les actions du projet précédent et contribuer à la lutte contre le hate speech en ligne lié au secteur du sport, tout en maintenant l’importance des activités éducatives pour renforcer la résilience des jeunes face à ce phénomène.

Le projet est mis en œuvre dans 7 régions italiennes (FVG, Vénétie, Lombardie, Piémont, Émilie-Romagne, Latium, Sicile) afin de maintenir l’attention sur le discours de haine en ligne en tant que phénomène changeant et insidieux et d’encourager la participation des écoles et du secteur du sport amateur à l’éducation des jeunes pour les aider à le reconnaître et à le contrer.

Le projet prévoit des activités de recherche préliminaire sur les attitudes et les comportements des jeunes dans les relations virtuelles contenant des discours de haine, avec la participation de l’université de Trieste – département des sciences de la vie, ainsi qu’une enquête sur les tendances du phénomène dans les principaux réseaux sociaux et journaux, en coopération avec l’université de Turin – département de la culture, de la politique et de la société.

Les résultats de ces activités soutiendront le développement d’un logiciel par ISF – Informatici senza frontiere, capable d’intercepter les conversations contenant des tonalités hostiles et discriminatoires et de proposer des réponses dissuasives, qui sera un outil fondamental pour l’expérimentation et les simulations dans les activités ultérieures de prévention et d’éducation au contraste.

Ces premières phases guideront ensuite la mise en œuvre d’activités de formation pour les enseignants, les entraîneurs et les autres personnels impliqués dans le sport, promues par les OSC ADP, ASPEm, CELIM, Comi, COPE, LVIA, ProgettoMondo en coopération avec ISF et les organismes de promotion du sport CSI et LIBERTAS, afin qu’une présence éducative solide puisse être créée autour des jeunes, capable de favoriser des dynamiques d’opposition au discours de haine. 

Les mêmes partenaires seront impliqués dans la réalisation d’activités éducatives dans les écoles et les groupes de sport amateur, visant à développer chez les étudiants et les jeunes sportifs des compétences numériques transversales, liées à la socialité et à l’exercice de la citoyenneté, puisque le discours de haine est directement lié au domaine des droits.

Les jeunes pourront ensuite tester les compétences acquises en participant activement à la campagne web de narration alternative coordonnée par le partenaire ImpactSkills, qui accompagnera l’ensemble du projet et sera enrichie par la présence de témoignages choisis parmi les athlètes et les sportifs aimés du public cible. 

Enfin, certains des jeunes participant aux cours éducatifs organisés dans les classes et les groupes sportifs amateurs seront impliqués dans la mise en place d’équipes territoriales d’activisme numérique qui auront pour mission d’intercepter et de contrer les discours de haine liés au sport, de proposer des réactions et des réponses dissuasives sur les réseaux sociaux.

Partenaires

Amici dei Popoli - ADP 

Associazione Solidarietà Paesi Emergenti - ASPEM

Centro Laici Italiani per le Missioni - CELIM

Cooperazione per il Mondo in via di Sviluppo - COMI

Cooperazione Paesi Emergenti - COPE

Centro Sportivo Italiano - CSI

ImpactSkills

Informatici Senza Frontiere - ISF

Centro Nazionale Sportivo Libertas

Associazione Internazionale Volontari Laici - LVIA

ProgettoMondo

Università degli Studi di Torino - Dipartimento di Culture, politica, società

Università degli Studi di Trieste – Dipartimento Scienze della Vita


ITALIE

ORA - Organizza, Rifletti, Agisci

Cofinancé par

Promu par

Le projet ORA! Organise, Reflect, Act, vise à promouvoir l’éducation au changement climatique (ECC) des jeunes de 14 à 19 ans afin de favoriser l’enracinement de la conscience environnementale dans leur système de valeurs et de stimuler un changement de comportement dans le sens d’une plus grande durabilité et d’une mobilisation civique en faveur d’initiatives de lutte contre le changement climatique, dans 7 provinces italiennes. L’enracinement de la conscience environnementale dans le système de valeurs des jeunes les conduira à la fois à un changement de leurs préférences individuelles dans le sens d’une plus grande durabilité et à la responsabilité sociale et à l’activisme en faveur de la protection de l’environnement.
L’activation des jeunes peine à atteindre une masse critique et à se traduire par une participation réelle à la vie sociale et démocratique de leurs communautés.

L’initiative s’articule autour de deux axes principaux :
– Axe de l’éducation scolaire : le projet promeut la pensée systémique et l’approche expérientielle dans les parcours scolaires de l’ECC ; ces approches favorisent en effet l’apprentissage de valeurs et de compétences qui s’inscrivent dans le domaine du « savoir être ». CVCS accompagnera les écoles de la région pour développer des parcours éducatifs en phase avec leur temps.
– Axe d’activation des jeunes : des expériences extrascolaires sont promues grâce à la collaboration entre l’école et le territoire. Ces expériences permettent aux jeunes de renforcer les compétences socio-émotionnelles et attitudinales nécessaires pour devenir des Climate Change Makers, c’est-à-dire des promoteurs du changement au sein de leurs propres communautés, dans le sens d’une plus grande durabilité climatique.
L’action est conçue selon une logique glocale (pensée globale, action locale) et est donc cohérente avec le domaine thématique « interconnectivité et citoyenneté mondiale » envisagé dans le cadre de contenu global de l’ECG élaboré par l’UNESCO.

Partenaires

CVCS - Centro Volontari Cooperazione allo Sviluppo

Amici dei Popoli - ADP

Comunità Impegno Servizio Volontariato - CISV

Comunità Promozione e Sviluppo – CPS

MLAL Trentino Onlus

Organismo Sardo Di Volontariato Internazionale Cristiano O.S.V.I.C

Società Cooperativa Sociale ADELANTE

La Piccionaia S.c.s.

System Dynamics Italian Chapter - SYDIC


ITALIE

Azioni concrete, Impronte leggere

Cofinancé par

Promu par

Le projet est développé simultanément dans 7 régions italiennes et comprend un certain nombre d’acteurs techniques (Climate Network, Informatici Senza Frontiere et Impact skills), qui sont en mesure de fournir les connaissances et les outils manquants aux jeunes étudiants, afin de leur permettre de comprendre avec des preuves scientifiques quels aspects de la vie quotidienne peuvent changer afin de contribuer efficacement au processus de transition écologique.

L’objectif spécifique est d’améliorer les connaissances des jeunes sur l’impact anthropique sur l’environnement et de favoriser leur implication, dès le contexte scolaire, dans des parcours de transition écologique coordonnés entre les écoles, les institutions publiques, le secteur tertiaire et la société civile.

Le projet développe des parcours éducatifs et de gamification pour former les élèves du secondaire et du lycée, ainsi que les enseignants et les éducateurs, à la durabilité environnementale et aux questions de transition. Au cours des deux années que durera le projet, l’éducation à la citoyenneté mondiale et au développement durable sera intégrée dans les programmes des 24 écoles cibles, la formation de 120 enseignants et la formation et l’évaluation de 2 500 étudiants.

Tout au long du cours, les OSC collaboreront avec des écoles et des organisations de jeunesse actives dans le domaine de l’environnement pour mener des activités d’animation territoriale, d’information et de sensibilisation sur les questions de développement durable, en informant et en impliquant les citoyens.

Dans le même temps, des outils techniques scientifiquement fiables seront développés pour identifier les aspects et les comportements sur lesquels il est possible d’agir pour réduire l’empreinte carbone des écoles, des organisations du secteur public et du tiers secteur et de la société civile, en les aidant à adopter des formes de reporting environnemental. L’objectif est d’encourager les processus de réflexion sur la conception afin de définir des voies de transition viables et efficaces pour chacun des six territoires dans lesquels le projet est mis en œuvre.

Partenaires

CVCS - Centro Volontari Cooperazione allo Sviluppo

Rete Clima

Impactskills

LVIA - Associazione internazionali volontari laici ONG

Amici dei Popoli ONG

Co.P.E. – Cooperazione Paesi Emergenti ONG

MLAL Trentino ONLUS

Informatici senza frontiere - ISF


ITALIE

TUAS - Tutta Un Altra Storia

Cofinancé par

Promu par

CVCS, en tant que membre de FOCSIV, contribue avec 11 autres organisations à l’action du projet TUTTA UN ALTRA STORIA. Ce projet a pour but de contribuer à surmonter les récits qui divisent sur le thème de la migration, en promouvant le protagonisme des jeunes et en éduquant les communautés, représentées par les enseignants, les universités, les associations, les réseaux de diasporas et les autorités locales qui offrent des opportunités d’engagement civique aux nouvelles générations dans 16 territoires du nord, du centre et du sud de l’Italie.

La stratégie du projet est basée sur la promotion de l’éducation à la citoyenneté mondiale, dans la continuité de la longue expérience dans ce domaine des partenaires impliqués, et sur l’approche innovante du kit de changement narratif, un outil pratique pour reformuler le débat sur les récits de migration développé par l’organisation allemande ICPA -International Centre for Policy Advocacy et mis à disposition en italien dans le cadre de l’initiative Never Alone, pour un avenir possible.

Cette approche vise à ouvrir le dialogue et à impliquer la partie de la population qui n’est pas particulièrement alignée ou intéressée par le sujet, définie comme le centre fluide, équivalant à 48% de la population, qui peut, si elle est impliquée de manière appropriée, devenir un « équilibreur politique et culturel » et générer un changement dans la perception et la gestion politique des questions migratoires.

Partenaires

FOCSIV

Progetto domani: cultura e solidarietà (PRO.DO.C.S.)

Compagnia di San Paolo

Helpcode Italia

Coordinamento Nazionale Nuove Generazioni Italiane (CONNGI)

Coordinamento delle diaspore in cooperazione internazionale (CODIASCO)

Libera Università Maria SS. Assunte (LUMSA)

Università degli Studi di Torino (UNITO)


ITALIE

ONES - Odiare Non è uno Sport

Cofinancé par

Promu par

La haine n’est pas un sport – Pistes pédagogiques pour prévenir et contrer le discours de haine raciale dans le sport

Le projet a été cofinancé par l’AICS et promu par le CVCS avec 13 autres partenaires italiens. Il visait à prévenir et à contrer les discours de haine circulant en ligne, en particulier les discours de haine d’origine raciale et liés au sport. Il prévoyait une série d’activités connexes : surveillance du phénomène ; test d’un chatbot capable de réagir aux discours de haine identifiés dans les principaux réseaux sociaux anonymes utilisés par les jeunes ; production de matériel de contre-narration comme outil de prévention et de lutte ; activités éducatives pour les jeunes et la communauté éducative ; une campagne multimédia mettant en vedette des personnalités sportives populaires et la contribution de l’activisme des jeunes.

Le projet est terminé en 2021


ITALI

Semi di Giustizia

Cofinancé par

Promu par

L’idée derrière le projet est de promouvoir le développement du volontariat et de la citoyenneté active, en particulier des jeunes, à travers l’approche ECG (éducation à la citoyenneté mondiale), qui, conformément à ce que déclare l’Unesco, représente « une éducation inclusive et globale, fonctionnelle à la réalisation de l’ensemble des 17 objectifs de l’Agenda 2030 ».

Les activités proposées, y compris l’école d’hiver « Seeds of Justice », envisagent la collaboration d’entités publiques et privées (associations du troisième secteur, autorités locales, universités), dans un parcours éducatif et volontaire pour favoriser les synergies en vue de la co-conception de politiques sur les questions actuelles les plus pertinentes : l’environnement, la migration, la numérisation.

Campagnes

CVCS coopère avec d’autres acteurs de la région pour organiser des événements et des initiatives de nature interculturelle dans le but de promouvoir une culture de la paix et de l’acceptation.

Même une petite contribution est très précieuse. Soutenez nos projets

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